Découvrez l’attrait de la généalogie descendante… avec les empreintes digitales
Tous les passionnés de généalogie vous le diront, l’intérêt de la généalogie ascendante repose sur la volonté et la possibilité de pousser les recherches le plus loin possible en remontant le temps. Aussi la généalogie descendante attire moins en raison de sa limite prévisible : le présent. Grâce aux empreintes digitales, vous pouvez trouver dans la généalogie descendante une perspective passionnante.
Tout le monde le sait, il n’existe pas deux empreintes digitales identiques. Et pourtant les empreintes digitales sont classables selon les cinq types de dessin d’empreinte : boucle, spirale, double-boucle, ellipse et arche. Ces dessins d’empreintes sont bien évidemment génétiques mais ils sont également héréditaires. C’est la raison pour laquelle vous pouvez vous amuser à repérer les ressemblances des empreintes de famille et leur transmission dans la généalogie descendante (la vôtre ou celle de vos cousins). Vous verrez c’est étonnant et captivant.
C’est étonnant parce que vous découvrez que certaines empreintes digitales sont rares, voire très rare (spirale 15%, ellipse et double-boucle 10%, arche 5%), et constatez parfois que leur transmission peut sauter une génération, comme les yeux bleus par exemple. Et vous pouvez établir dix arbres généalogiques descendants… en fonction des dix doigts de la main.
Mais ça devient captivant aussi parce que les empreintes digitales sont en corrélation avec des prédispositions innées de comportements. Et vous comprenez, tout d’un coup, pourquoi telle branche de la famille se caractérise par une tendance au perfectionnisme… et par un grand nombre d’empreintes digitales en forme de « spirale », alors que l’attrait pour le changement s’avère typique d’une autre branche familiale dans laquelle bon nombre d’individus possèdent des empreintes en forme de « boucle ».
Cette corrélation entre les types d’empreintes digitales et la personnalité innée a été établie par Jean de BONY, qui a créé la Biotypologie® en 1980 et l’a développée à partir de constats statistiques sur les caractéristiques génétiques de plus de 10 000 mains. Consultant en épanouissement professionnel et formateur en compréhension mutuelle, il anime des séminaires en entreprise et intervient comme conférencier dans l’événementiel.
La dimension héréditaire de l’empreinte digitale a permis à Jean de BONY de créé, en 2004, FINGERTREE, un jeu de psycho-généalogie-génétique, pour passer un bon moment en famille à comparer les empreintes. FINGERTREE a été vendu à 3000 exemplaires à COUTOT ROEHRIG, cabinet leader européen de généalogie successorale, pour l’offrir aux notaires comme cadeau d’entreprise. Par la suite, ce jeu fut diffusé à 5000 exemplaires par la grande distribution (BHV, Joué Club, King Jouet, Descartes).
Le succès de ce jeu a incité Jean de BONY, et son co-auteur Stéphanie LECLAIR DE MARCO, journaliste, à publier un livre contenant un « Livret de famille biotypologique » reprenant l’idée de l’arbre généalogique des empreintes digitales de la famille. Mais cet ouvrage, portant le titre « Tout dans les mains », est également un manuel pratique d’auto-évaluation de la personnalité innée. Il permet à chacun de faire le point sur son tempérament et sur les aspirations qui en découlent… à partir, non seulement des empreintes digitales, mais également de l’ensemble des caractéristiques génétiques des mains en distinguant les critères tactiles et visuels :
– chaleur et moiteur de la main, épaisseur et douceur de la peau.
– largeur de la paume, longueur de doigts, forme des ongles, profondeur des lignes.
Avec cette approche innovante, vous pouvez être lucide sur la part innée de votre personnalité et mieux cerner celle des autres.
Cela donne l’occasion, aux parents de mieux comprendre leur enfants, aux étudiants de mieux s’orienter, aux couples de mieux se comprendre mutuellement, et aux entreprises de mettre la bonne personne à la bonne place.
L’auteur a voulu sa méthode simple et universelle, pour permettre à chacun, quelle que soit sa culture ou son ethnie, d’établir son portrait tempéramental. Pour ceux qui souhaitent un diagnostic comparatif des empreintes digitales de famille, Jean de BONY reçoit, ou se déplace, pour recueillir les empreintes et établir l’arbre généalogique biotypologique.
Plus d’infos avec sa vidéo explicative sur les empreintes dans sa boutique en ligne : www.toutdanslesmains.com
Bonjour
Il est certain qu’il existe mille façons de réaliser une genealogie.Cependant je crois qu’il est « raisonnable » de savoirse limiter à ce qui est credible.
Grace ou à cause de geneanet j’ai pu remonter à Adam et Eve.
On peut considerer que jusqu’au seiziemme siecle, les registres peuvent-avec un peu de chance-fournir des renseignements corrects.Plus tôt, on doit se fier au recherches d’historiens plus ou moins serieux, et on se retrouve avec des disparites enormes dans les noms et surtout les dates.Plus tôt encore on tombe sur la Genese dont tout le monde sait qu’elle est totalement « bidon »
Alors?
La remarque relative à la généalogie ascendante plutôt que descendante laisse un arrière goût de tromperie …
S’il est vrai que l’on s’engage plus facilement à une généalogie ascendante non pas pour voir jusqu’où mais pour tout simplement remonter le temps grâce à des produits gratuits. La généalogie collatérale ou descendante a quant à elle le problème du prix : rien n’est gratuit ou lorsqu’il est rien n’est moins sûr quant aux données.
Le mieux, et je le pense sincèrement, c’est d’effectuer ses recherches dans les deux sens.